Des cartes en ligne souveraines et modernes, alternatives aux maps des GAFAM.
Tout y sera : recherche lieux, commerces, tourisme, photos, photos de rues.
Itinéraires à pieds, en vélo, en transport en commun et train, voiture partagée, ferry : l’accent sera mis sur les transports écologiques.
Sovereign, modern online maps, an alternative to the GAFAM maps.
Everything will be there: location searches, shops, tourism, photos, street photos.
Itineraries on foot, by bike, by public transport and train, car-sharing, ferry: the emphasis will be on eco-friendly transport.
deepl
reminds me of a recent dispute i had to participate
Si l’écologie des sentiments est un désastre, s’il faut absolument des ordres de grandeur pour motiver et guider nos changements de mode de vie, il reste qu’il n’y a pas d’action écologique sans prise en compte de nos sentiments les plus profonds : le confort, les dynamiques d’appartenance à des modes, la complexité perçue de la gestion de nos petites vies à chacun.
Qu’on soit clair : je ne prétends aucunement que posséder et voyager en voiture est plus simple dans la globalité de ce choix de vie. Dans le récit numéro 1, nous avons omis de donner les ingrédients qui permettent de posséder et d’utiliser une voiture. Comme nous le disions plus haut : on paie, et on paie très cher. On finance les pires régimes terroristes de la planète. Pour avoir ce pognon de dingue, on travaille, beaucoup. En moyenne, plus d’un jour par semaine est consacré à payer la voiture du foyer.
Si vous n’en êtes pas convaincu, faites le calcul. Posséder une voiture n’est pas non plus exempt de complexité, de temps et de fatigue nerveuse, loin de là : répondre à 48 questions pour son assurance auto (qui à elle seule coûte plus cher que 20 trajets en TER) ; gérer les amendes, les engueulades, les accidents, les pannes, les réparations, le parking, les embouteillages… Mais une chose est indéniable : être dans la normalité, c’est rassurant, c’est simple.
C’est profiter d’un investissement colossal fait pour ce moyen de transport : 80 % du budget mobilité français va dans le système voiture, et il inclut notamment beaucoup de dépenses de l’État, donc nos impôts.