Le drame survenu le 14 juin, au large des côtes grecques, pourrait avoir coûté la vie à 650 exilés. L’inaction des autorités maritimes et de l’agence Frontex de gardes-frontières met en évidence l’inhumanité des politiques migratoires à l’œuvre au sein de l’Union européenne. Jeudi 15 juin, neuf personnes, soupçonnées d'être les passeurs, ont été arrêtées.