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Cake day: April 28th, 2024

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  • D’après l’article du Monde que j’ai lu ils ont passé au cribles tous les facteurs les plus évidents, mais aucun n’était entièrement satisfaisant.

    On parle de plus en plus du rôle des chaînes d’info continu en France dans la libération de la parole raciste, mais on ne sait pas si les gens deviennent raciste en regardant CNEWS ou s’il l’était déjà avant.

    Ici si mon hypothèse se vérifie on montrerait que c’est bien la télé qui rend raciste et non l’inverse.

    D’après les calculs de coin de table sur plusieurs pays européens, j’ai une corrélation d’environ 80% entre les résultats de l’extrême droite et le nombre de chaînes de télé dans le temps. Ca ne marche pas pour tous les pays notamment au Royaume Unis où il est difficile de cataloguer des partis d’extrême droite, sauf si on prend en compte le Brexit.

    Il y a beaucoup à redire sur les critères, chaînes privés uniquement ou aussi publiques ? (Le cas de la Rai italienne est particulier, sous domination Berlusconienne). Doit-on inclure les radios aussi ? En fait il faudrait faire une analyse poussée pays par pays.







  • Il a dit lui même dans une interview Figaro qu’il n’a jamais prôné la décroissance comme programme politique, mais que la décroissance sera subie dans tous les cas. Après on entend ça comme on veut.

    Sur son blog : “Contrairement aux décroissants, toutefois, je ne présente pas la décroissance comme un but en soi. C’est une contrainte, un peu comme la vieillesse. Mais elle est inexorable, et il faut s’y préparer dès maintenant pour qu’elle soit la moins désagréable possible.”

    Alors certes il parle de décroissance, mais la robe ne faisant pas le moine, parler de décroissance n’en fait pas un allié automatique de la cause écologiste. Son objectif est de limiter la décroissance au maximum en utilisant tous les moyens à sa disposition. Parce que dans sa matrice de pensée, la croissance est forcément une bonne chose.

    Qu’importe les montagnes de déchets radioactifs à traiter, les centrales à démanteler dans les centaines d’années à venir dans un monde où il ferait 50° à l’ombre.

    Pour compléter, sur son blog toujours :“[En parlant du mix 100% ENR] Cela signifie que le consommateur doit pouvoir se passer « automatiquement » (c’est le mot employé) d’électricité du réseau, en fonction des prix de marché ou des décisions des gestionnaires du réseau. Concrètement, on vous couperait, si nécessaire, votre électricité, sans vous demander votre avis. Je ne suis pas sur que les gens qui rêvent d’un système 100% ENR aient compris que cela faisait partie du paquet cadeau !”

    Conclusion Jancovici trouve inacceptable qu’on lui coupe l’électricité de temps à autres. Il préfère des montagnes de déchets à la Hague et ses travailleurs contaminés. Étrangement en tant que techno-solutioniste il n’imagine pas des solutions palliatives comme des power-bank à base de batteries à sodium-ion par exemple (très peu polluantes et abondantes partout dans le monde)


  • “On ne fait pas de politique”, dit-il un micro à la main.

    Dans le même genre il existe “nous ne sommes pas une religion”, qui est le moto de tout mouvement sectaire qui se respecte, ou “je ne suis pas raciste”.

    Je ne sais pas qui Jancovici espère convaincre. Au début je pensais qu’il espérait rallier les réacs de droite climatonégationnistes à sa cause, mais en realité il se présente surtout en VRP de l’industrie nucléaire, et donc prouver par A+B à nous autres gauchiasses qu’on peut pas faire autrement, car c’est physiquement impossible vous comprenez ?

    Il part du postulat de base que nos besoins sont immuables et qu’il faudra remplacer chaque watt-pétrole par un watt-atome, le jour, la nuit, l’hiver et l’été. Surtout ne rien changer à nos habitudes, continuons à éclairer les magasins la nuit, chauffer les supermarchés, organiser des JOs, etc.

    C’est physique tout ça, vous comprenez ?



  • J’ai commencé les premiers épisodes, mais je n’ai pas encore entièrement accroché.

    Le personnage de John Blackthorne est ridiculement peu diplomate, mais ce qui m’agace le plus est le manque de réalisme dans ses échanges avec les Japonais et les Portugais.

    Hollandais et Japonais ne se comprennent pas, mais pour les besoin du scénario on fait en sorte que si quand même. Et quand le pirate parle en portugais on entend de l’anglais, peut-être qu’on aurait perdu la moitié de l’audimat avec des sous-titres.

    Mais les costumes, les décors et l’ambiance sont très bien réalisés, ce qui par contraste met la barre peut-être un peu trop haute.



  • Pour la communication, il ne faut pas grand chose pour communiquer par radio, tout le monde en possède une, ou du moins je l’espère, et fabriquer une pile électrique est d’une simplicité méconnue : du vinaigre, du papier allu et des pièces de centimes.

    La radio est sans doute la technologie la plus efficiente pour communiquer, elle nous accompagne depuis la fin du 19eme siècle. On peut supposer qu’il y ait au moins un émetteur qui possède un groupe électrogène et des batteries. On pourrait recevoir les informations officielles (distribution de nourriture, etc.)

    Pour la nourriture j’imagine un truc assez simple, je verrais bien les gens de mon immeuble s’organiser pour faire une cuisine extérieur avec un feu de bois. Ensuite il faudrait trouver une autre source d’énergie que le bois, le plus abondant est sans doute le pétrole ou le gaz.