Why we should be putting solar panels on our fields and lakes
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On our way to an emissions-neutral future the use of solar energy is crucial. The problem: the space for photovoltaic systems is getting tight. We need land for food, for housing, to preserve biodiversity. So where to go with the solar cells? Credits: Reporter: Monika Sax Video Editors: Philipp Czegka, Frederik Willmann Supervising Editors: Kiyo Dörrer, Malte Rohwer-Kahlmann We're destroying our environment at an alarming rate. But it doesn't need to be this way. Our new channel Planet A explores the shift towards an eco-friendly world — and challenges our ideas about what dealing with climate change means. We look at the big and the small: What we can do and how the system needs to change. Every Friday we'll take a truly global look at how to get us out of this mess. #PlanetA #Agrivoltaics #Floatovoltaics Read more: Outlook for the industry:https://www.solarpowereurope.org/insights/market-outlooks/global-market-outlook-for-solar-power-2022 Integrated Photovoltaics – Areas for the Energy Transformation: https://www.ise.fraunhofer.de/en/key-topics/integrated-photovoltaics.html Space Energy Initiative: https://spaceenergyinitiative.org.uk/ Author would like to thank (for research support and background information): Greg Barron-Gafford, University of Arizona, https://www.barrongafford.org Dr. Thomas Reindl, Solar Energy Research Institute of Singapore, https://www.seris.nus.edu.sg Fraunhofer Institute for Solar Energy Systems ISE, https://agri-pv.org/en/ Tim Pinguin, The Space Energy Initiative, UK Laura Dijksma and Gerjan Wubs, Groenleven, NL Tanja Göller, Next2Sun, Germany Børge Bjørneklett, Ocean Sun, Norway Archanaa Nivruthaa Raja, Sembcorp Industries, Singapore Chapters: 00:00 Intro 01:23 Introducing Agrivoltaics 03:16 Photovoltaics place in agriculture 05:48 Taking the plunge with Floatovoltaics 09:57 Environmental impacts of floating solar 11:35 Solar power from space 14:20 Conclusion

Mégafil : Le monde paysan (Ressources)

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Remerciment aux composteurs et composteuses

Camus, Syl, le_pouffre_bleu

Compilation de ces sources

  • Snoopy@jlai.luOPFrançais
    3·
    10 months ago

    C’est dommage car je pensais que ce serait bien : ombrelle

    J’avais peur pour les plantes mais ça marche bien. C’est marant pcq durant mon bprea j’avais imaginé ces ombrelles en voile. Le soleil crame les plantes et passer un certain seuil, les plantes entre en repos végétatif et arrete de produire des légumes. il peut aussi assecher les sols. Donc on couvre mais ça dépend des régions.

    Tampon contre pluie battante.

    Ça évite de tasser le sol. En maraichage c’est la toile tisée ou le broyat/couverture vegetal qui joue ce role.

    • La toile tissé permet aussi de limiter l’évapotranspiration tout en chauffant le sol. En dessous, compost.

    • le broyat, c’est du carbone. Il peut provoquer une fin d’azote. En revanche petit à petit il sera decomposé : champignon, insecte, bactéries et va nourrir le sol. D’ailleur ya un projet de sequestration du carbone 1/1000

    • rénumération des paysans. Déjà iels sont pauvres et ya un fort taux de suicide. J’ai un un agriculteur sourd qui m’a répété le mot suicide et ça m’a fortement marqué. Très triste. Alors si les paysans deviennent productaires d’energie, je signe tout de suite.

    Reste les aventices en maraichage. Là faut soit du broyat (MSV) ou de la toile tissée.

    Et la tribune de la CIVAM met en lumiére les pièges de l’agrivoltaïques…

    Nous pensons au contraire que ce mot ronflant d’« agrivoltaïsme » relève du marketing : il dissimule l’accaparement des terres agricoles par des sociétés de production d’énergie pressées de s’enrichir, sur le dos du monde paysan.

    • Syl@jlai.luFrançais
      2·
      10 months ago

      ouais c’est bien ce qu’il me semblait… mais au lieu de ça, on pourrait subventionner toutes les surfaces existantes des immeubles par exemple…

      on a vraiment pas le cerveau bien câblé pour faire face au problème…

      • Snoopy@jlai.luOPFrançais
        2·
        10 months ago

        Les immeubles oui mais je pense qu’on peut les garder pour autre chose : des jardins partagé, chauffe-eau solaire et filtrage de l’eau.

        En faisant ma carte sur les ilots de chaleur à Toulouse et les initiatives pour lutter contre :

        https://umap.openstreetmap.fr/fr/map/toulouse-se-rafraichit_953079#12/43.6214/1.4346

        Je me suis rendu compte qu’une des premières sources des ilots de chaleur sont les parkings (sur goudron). Donc soit on réduit la voiture et on végétalise, soit on met des panneaux solaires.

        La mairie de Toulouse a déjà prevu de mettre des panneaux sur 12 (?) petits parkings. C’est pas enorme mais mieux que rien. (Icone parasol sur la carte)

        • Syl@jlai.luFrançais
          2·
          10 months ago

          ils auraient aussi pu tenter de végétaliser les parkings :)

          mais bon, comme ce sont déjà des gros espaces artificielles, pourquoi pas. Je ne pense pas que ça aura un impact sur les ilots de chaleur par contre, ça va juste rentabiliser d’avantage les espaces. Mais mieux vaut ça que les champs 😅

          • Snoopy@jlai.luOPFrançais
            2·
            10 months ago

            Sisi car ça fait Parsoleil :)

            Mais si on veux quelque chose de plus efficace : les arbre et l’evapotranspiration. L’eau fait tampon face à la chaleur.

            Après faut pas oublier le projet 100% voitures electriques en 2035, j’ai halte de voir le resultat deja que les centrales nucléaires, barrage hydro sont à genou en été…je crois que seul le vélo sera capable de rouler l’été 😁