• Syl@jlai.lu
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    11 months ago

    Disons que ça fait partie du problème. Il y a effectivement eu une quantité d’eau importante en peu de temps, et si la terre n’est pas suffisamment aérée pour qu’elle s’infiltre, ça va ruisseler. C’est une des problématiques soulevées dans le rapport du GIEC.

    Il faut très certainement se poser la question de ce qu’on souhaite faire dans un monde qui change: moins de bétail, produire de la nourriture qu’on consomme, retravailler les terres pour empêcher ces problèmes, voir si on peut remplir les nappes quand la sécheresse va arriver…

    • Kabe@jlai.lu
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      11 months ago

      Les nappes était pleines, les sols saturés, l’eau trouve sont chemin jusqu’à la mer et sur les terrains plat/creux/bas ca sera forcement problématique. Mais oui tous les drains, évacuations ca se dégrade et encore plus après tempêtes et pluies ce qui fait boule de neige. Mais je suis d’accord aussi qu’un champ cultivé à nu peut être plus proche d’un parking que d’une prairie, comme les aménagements civil qui peuvent faire barrage, déviation ou entonnoir. Quand l’eau surpasse les protections et s’engouffre en cisaillant tout, créant de nouvelles failles et en déviant les flux ca fait un carnage. Je me rappel d’il y a plusieurs années, d’inondations où des débris (arbres morts presque entier) ont formés des barrages sur des ponts déviant la partie haute et ouvrant petit à petit des digues de terres, d’un petit champs de mais dans un virage où les épis se sont couchés/incurvés et fait barrage en déviant dans l’autre sens, en l’espace d’une heure ca fait des étendues énormes inondées