• AnUnusualRelic@lemmy.world
    link
    fedilink
    arrow-up
    2
    ·
    edit-2
    1 year ago

    Ça dépend complètement du maraîcher avec lequel on fonctionne. Je suis dans une Amap depuis 15 ans, il fait 60 à 70 variétés par an et on est clairement gagnants par rapport à la grande distribution à qualité équivalente.

    Mais on a vu beaucoup d’Amaps mal gérées parce que le maraîcher ne savait pas s’adapter à ce marché.

    • widowildB
      link
      fedilink
      Français
      arrow-up
      3
      ·
      1 year ago

      Très probablement une gestion hasardeuse, le père ne faisait que de la viande mais on avait des besoins spécifiques qu’en à une allergie alimentaire et du jour au lendemain notre fille n’était pas bien à cause de cette allergie, je parle de produit comme les merguez saucisses,… le charcutier avait changé de recette sans que l’on soit prévenu.

      Et le fil nous donnait quasiment les mêmes légumes chaque semaine, grand maximum sur une semaine on avait 3 légumes différents.

      Nous sommes dans un territoire riche en agriculture, je trouve ça dommage.

      Par contre des que l’on avait payé pour les mois suivants le fils et sa copine partaient faire des semaines de « formation », j’avais plus l’impression que c’était uniquement pour se divertir et beaucoup moins pour bosser. Pour finir pendant les semaines avant la fin de contrat on n’avait plus aucun légume…

      • AnUnusualRelic@lemmy.world
        link
        fedilink
        English
        arrow-up
        2
        ·
        1 year ago

        C’est dommage.

        Le concept est très bon. Mais ça demande une gestion spécifique de la part des agriculteurs. Ça ne fonctionne pas du tout comme la producion à destination de la grande distribution.

        Nos agriculteurs (on commence à avoir un bon petit réseau depuis le temps) sont ravis de notre collaboration (on n’est pas leur seule Amap, mais on est une de leurs plus solides) et gagnent bien mieux leur vie qu’avec d’autres modes de distribution. Par ailleurs on les soutient quand ils ont des problèmes (on a eu un incendie et deux ou trois problèmes climatiques lourds). Dans l’ensemble on est gagnants / gagnants, et les retours des adhérents vont dans ce sens.

        Quand les gens partent, c’est plutôt, soit parcequ’ils n’arrivent pas à gérer le volume de produits frais (pas facile pour tout le monde de se mettre à cuisiner quand on n’a pas l’habitude, ou pas le temps), ou parcequ’ils déménagent (on est à Paris, donc il y a pas mal de mouvement).