Ça a débuté comme ça, pour rire, ou plutôt sérieusement mais sans se prendre au sérieux. Mes copines “cochonnettes”, amatrices de bonne chère, d’abats, et de charcuteries cherchaient un sujet adéquat pour mon premier livre, les “couilles” sont apparues comme une évidence.

Les couilles ne sont guère abordées dans les livres de cuisine, pourtant elles firent les délices de la cuisine de cour sous Louis XV, furent un hors d’œuvre friand de la cuisine classique et bourgeoise au XIXe siècle, et l’un des mets canailles préférés des professionnels de la viande à la Villette, à la grande époque des Abattoirs.

Laëtitia Visse collecte auprès de cinq chefs des recettes qui les mettent en scène, et se penche à son tour sur ces abats tant négligés. Des recettes pour leur rendre hommage, qu’elle ne manquera pas de mettre à la carte de son restaurant “La Femme du boucher” qui ouvrira à Marseille à l’été 2020.

Quelqu’un a essayé ? :)

  • just_chill@jlai.luM
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    ·
    7 months ago

    C’est pas tant le goût qui me fait peur, c’est la discussion avec le boucher. Et si tu veux tester plusieurs plats faut y retourner.

    • Snoopy@jlai.luOP
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      6 months ago

      On peut appeller ça des animelles, c’est plus discret mais oui le boucher et la bouchère auront un grand sourire ou une mine un peu perplexe.

      C’est là que le fameux ami imaginaire entre en scène pour nous sauver les mirettes. :)

      Amha la conversation doit etre très drôle. :)