Aller sur internet dans ce temps-là c’était accepter que son curseur soit un épis de maïs et qu’il se fasse poursuivre par une vague de texte en couleur.
C’était aussi faire le saut à chaque profil Myspace qui avait une musique de fond qui partait automatiquement en arrière-plan.
Aller sur internet dans ce temps-là c’était accepter que son curseur soit un épis de maïs et qu’il se fasse poursuivre par une vague de texte en couleur.
C’était aussi faire le saut à chaque profil Myspace qui avait une musique de fond qui partait automatiquement en arrière-plan.