Ma théorie optimiste, c’est que les deux savent qu’en solo, ils ne peuvent rien gagner et qu’ils ont décidé de se tester, mais l’un d’entre eux se ravisera après concertation.
Ils portent des projets très similaires, mais le ton n’est pas du tout le même. Cette différence peut ramener des voix à chacun d’eux qui pourraient les écouter quand ils choisiront de laisser la place à l’autre. Ducoup, il est possible que ça aille assez loin dans la campagne, je soupçonne qu’ils ont déjà discuté de comment ne pas se marcher dessus.
Si c’est une confrontation directe, c’est foutu.
La gauche a déjà des soucis qu’il va falloir résorber, avec une partie d’entre elle qui n’y crois pas du tout et se sert de la présidentielle pour gagner en notoriété ; EELV, PCF, etc.
Rares sont les grands chefs d’entreprise qui l’ont déjà rencontré, mais tous tendent l’oreille. Son vocabulaire un peu désuet opposant les « patrons » et les « ouvriers » agace, mais son discours productiviste, son attachement à la valeur travail et à l’industrie plaisent à certains, qui admettent partager son constat, sans adhérer aux solutions qu’il propose.
Après lecture de l’article j’ai l’impression en effet qu’on parle plutôt d’une opposition de forme, bien que Ruffin soit également pas très solide sur le fond et cherche à le combler. Au final, ça me rappelle beaucoup l’effet Roussel, encensé par “”“l’arc républicain”“” et chouchou des médias mais pour qui personne ne vote.
Clairement, Ruffin est un cran au dessus de Roussel dans sa sincérité et sa pertinence, mais sa candidature risque fort de déboucher sur un pétard mouillé.
Je préférais qu’il ait une plus grande importance stratégique au sein de LFI mais pour ces raisons, je serais très opposé a ce qu’il se présente a la place de Mélenchon en 2027 à ce stade.
Ma théorie optimiste, c’est que les deux savent qu’en solo, ils ne peuvent rien gagner et qu’ils ont décidé de se tester, mais l’un d’entre eux se ravisera après concertation.
Ils portent des projets très similaires, mais le ton n’est pas du tout le même. Cette différence peut ramener des voix à chacun d’eux qui pourraient les écouter quand ils choisiront de laisser la place à l’autre. Ducoup, il est possible que ça aille assez loin dans la campagne, je soupçonne qu’ils ont déjà discuté de comment ne pas se marcher dessus.
Si c’est une confrontation directe, c’est foutu.
La gauche a déjà des soucis qu’il va falloir résorber, avec une partie d’entre elle qui n’y crois pas du tout et se sert de la présidentielle pour gagner en notoriété ; EELV, PCF, etc.
Je doute que ça soit le caractère de Mélenchon de se raviser. Dommage car pour moi c’est un repoussoir.
Après lecture de l’article j’ai l’impression en effet qu’on parle plutôt d’une opposition de forme, bien que Ruffin soit également pas très solide sur le fond et cherche à le combler. Au final, ça me rappelle beaucoup l’effet Roussel, encensé par “”“l’arc républicain”“” et chouchou des médias mais pour qui personne ne vote. Clairement, Ruffin est un cran au dessus de Roussel dans sa sincérité et sa pertinence, mais sa candidature risque fort de déboucher sur un pétard mouillé.
Je préférais qu’il ait une plus grande importance stratégique au sein de LFI mais pour ces raisons, je serais très opposé a ce qu’il se présente a la place de Mélenchon en 2027 à ce stade.