C’est bien un risque, et je pense que la demande doit venir de la population pour que les politiques s’y intéressent. Mais on est bien mal barrés, et je crains de plus en plus que Plus rien des Cowboys fringuants se révèle plus prémonitoire que fictionnelle.
Je parlais de cette situation hier avec un de mes amis. J’ai bien peur que cela doit venir des Gouvernements parce que la grosse majorité des gens ne feront probablement pas les changements par eux-mêmes. Peut-être qu’ils ne sentent pas l’urgence, peut-être qu’ils n’ont pas conscience ou bien qu’ils ne veulent juste pas faire les gestes par eux-mêmes.
Cependant, la minorité qui réclament des changements est primordiales à ce que le Gouvernement bouge.
Une situation que je peux voir comme semblable a été la pandémie. En gros, les gestes demandées étaient pas très gros la plupart du temps, mais il y avait une grosse résistance quand même dans la population. C’était pour des changements temporaires. J’ose même pas imaginer la résistance qu’il va y avoir si l’État demande des gros changements permanents.
Je pense qu’un exemple de changement est l’adoption des véhicules électriques. Il y a de la résistance, mais à un moment donné, tout va être probablement électrique et les gens n’auront tout simplement plus le choix, même si aujourd’hui, ils sont incapables de voir un futur électrique.
Le souci, c’est que les politiciens sont élus par la population, donc si la population ne veut pas faire des sacrifices pour protéger l’environnement, elle votera plutôt du côté de politiciens qui pensent de la même façon.
L’exemple que tu donnes est d’ailleurs assez significatif : tant au niveau environnemental que de l’urbanisme, beaucoup défendent que la voiture électrique ne sera probablement pas la solution, car elle pollue encore énormément (tant la voiture elle même, que les infrastructures associées et leur maintenance, et en dehors de tout un tas d’autres problèmes). Mais les changements sociétaux que demanderaient de se passer de la voiture individuelle ne sont pas acceptés dans la population, donc on va privilégier quand même cette solution, plutôt que de réfléchir à la meilleure solution.
Au pire, 4°C de réchauffement, c’est pas si grave tant qu’on a la clim /s
C’est bien un risque, et je pense que la demande doit venir de la population pour que les politiques s’y intéressent. Mais on est bien mal barrés, et je crains de plus en plus que Plus rien des Cowboys fringuants se révèle plus prémonitoire que fictionnelle.
Je parlais de cette situation hier avec un de mes amis. J’ai bien peur que cela doit venir des Gouvernements parce que la grosse majorité des gens ne feront probablement pas les changements par eux-mêmes. Peut-être qu’ils ne sentent pas l’urgence, peut-être qu’ils n’ont pas conscience ou bien qu’ils ne veulent juste pas faire les gestes par eux-mêmes.
Cependant, la minorité qui réclament des changements est primordiales à ce que le Gouvernement bouge.
Une situation que je peux voir comme semblable a été la pandémie. En gros, les gestes demandées étaient pas très gros la plupart du temps, mais il y avait une grosse résistance quand même dans la population. C’était pour des changements temporaires. J’ose même pas imaginer la résistance qu’il va y avoir si l’État demande des gros changements permanents.
Je pense qu’un exemple de changement est l’adoption des véhicules électriques. Il y a de la résistance, mais à un moment donné, tout va être probablement électrique et les gens n’auront tout simplement plus le choix, même si aujourd’hui, ils sont incapables de voir un futur électrique.
Le souci, c’est que les politiciens sont élus par la population, donc si la population ne veut pas faire des sacrifices pour protéger l’environnement, elle votera plutôt du côté de politiciens qui pensent de la même façon.
L’exemple que tu donnes est d’ailleurs assez significatif : tant au niveau environnemental que de l’urbanisme, beaucoup défendent que la voiture électrique ne sera probablement pas la solution, car elle pollue encore énormément (tant la voiture elle même, que les infrastructures associées et leur maintenance, et en dehors de tout un tas d’autres problèmes). Mais les changements sociétaux que demanderaient de se passer de la voiture individuelle ne sont pas acceptés dans la population, donc on va privilégier quand même cette solution, plutôt que de réfléchir à la meilleure solution.
Au pire, 4°C de réchauffement, c’est pas si grave tant qu’on a la clim /s