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La parentalite à la campagne, je vous en ai déjà parlé ? Y a un mec chelou qui a été vu rôder autour de l’école primaire ces derniers jours et hier il a fait irruption dans la salle où on lieu les cours de danse des 4/5 ans. Le groupe what’s app des parents (surtout des mères) est en ébullition. Une demande si c’est le même gars qui l’an passé avait été vu traîner autour de l’école. Une autre dit qu’il a été vu se palucher, ce qui a depuis été démenti. Une troisième ne veut plus amener ses gamines à l’école. Moi, j’attends l’incident. Pas avec un gamin, non car tout le monde y compris la police locale est sur le coup et veut le choper. Non, avec les darons. Qui dit campagne dit chasseurs, fusils et cie. Et quand on confond un cycliste avec un sanglier, on peut aussi confondre un pervers avec une truie.
Aaaaah ça me rappelle au taf quand on a du faire le guet pour chopper le dingue qui se cachait dans les placards techniques pour ensuite se masturber devant les escaliers vitrés donnant sur l’extérieur d’un des immeubles sociaux…
MiniShell est bien rentré dans les terrible two, une crise chaque matin juste avant d’aller à la crèche. J’ai faili devoir le trainer par un pied dans la rue, parce que mon gros bidon de grossesse m’empêche de plus en plus de le porter.