L’effondrement des populations animales, voire la disparition des espèces, se fait à un rythme affolant à l’échelle mondiale. Et, dans nos départements, beaucoup d’animaux sont en sursis.

Dans la Loire, par exemple, en 2018, la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) estimait que l’hirondelle y avait perdu entre 30 et 40% de ses effectifs, en raison notamment de l’intensification de l’activité agricole.